• FORGET (Eugène), Histoire des Sagiens, 1980

    FORGET (Eugène), Histoire des Sagiens, 1980

     

    né le 11 novembre 1901 à Sœurdres (Maine-et-Loire), et mort le 26 novembre 1994 à Angers, est un syndicaliste paysan français.

    Né en 1901, il est agriculteur du Maine-et-Loire. En janvier 1944, il est élu syndic régional adjoint du Maine-et-Loire de la Corporation paysanne. À la Libération, adhérera au Mouvement républicain populaire, comme membre du Comité d'entente pour la démocratie chrétienne. Il devient conseiller économique et maire de sa commune.

    De 1946 à 1949, il est le premier président de la FNSEA. En mars 1946, il fait voter à mains levées le serment de l'unité paysanne.

    Livres.

    Eugène Forget,

    Le serment de l'unité paysanne, Nouvelle cité, Paris, 1982.

     Lien Histoire des Sagiens, 1980

     


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  • SEES (Orne). 62, Rue Saint-Martin. — Durant le mois de février 1989, une opération de sauvetage a été réalisée dans le sous-sol d'une maison particulière où un silo d'époque médiévale a été découvert. Cette fosse se présente sous la forme d'une cavité profonde de 1 m environ, la partie supérieure du silo a disparu lors de la construction de la maison. Elle est creusée dans le substrat calcaire et la stratigraphie de son remplissage peut se décomposer en trois phases distinctes :

    1. Au fond de la fosse, une terre grasse d'environ 20 cm d'épaisseur (décomposition de matériaux organiques) contenait de très nombreuses coquilles d'œufs, des ossements animaux ainsi qu'une grande quantité de charbons de bois. Elle était recouverte d'une couche de calcaire concassé ayant probablement servi de bouchon.

     

    2. Comblement du silo par deux couches successives de terre brune et de sable. La plus profonde des deux contenait 7 ouïes à lèvres en bandeau (céramique commune à pâte blanche) que l'on peut attribuer, par comparaison à celles trouvées lors des fouilles précédentes effectuées dans la région Normandie-Maine, à la période fin xie-xne s. Ces deux strates étaient recouvertes d'un second bouchon qui semble correspondre au sommet primitif du comble¬ ment.

     

    3. Le tassement des terres et la décomposition des matériaux organiques ayant entraîné un abaissement des niveaux de remplissage, l'utilisateur des lieux a été obligé d'effectuer un second remblaiement au moyen d'un mélange de terre végétale, de gravats et de sable. L'hypothèse est renforcée par la présence dans cette couche de tessons de poterie plus tardive (xive ou XVe s.). Il a été possible d'observer également un niveau d'occupation postérieur à l'utilisation du silo (fine couche de terre brune) entre les phases 2 et 3.

     

    Comme on le remarque fréquemment pour ce type de structure, il est probable que cette fosse a servi dans un premier temps de réserve alimentaire et qu'après altération, elle a été utilisée comme dépotoir ménager. (Responsables de la fouille : P. Couanon et N. Forfait).


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  • Ancienne église de Clairay à Belfonds

     Photo du Monument Historique Ancienne église de Clairay situé à Belfonds

    Ancienne Eglise de Clairay  , dite Chapelle Saint-Latuin, enclos paroissial, croix de cimetière et fontaine Saint-Lin (cad. A 14, 15, 10) : inscription par arrêté du 31 octobre 1990 ; L’assiette des sols des parcelles de la fontaine Saint-Lin ainsi que les vestiges archéologiques enfouis, tels que délimités sur le plan annexé à l’arrêté, située sur les parcelles n°143 au lieu dit Cléray, et n°145 au lieu-dit La Couture, figurant au cadastre section A : inscription par arrêté du 13 août 2018.

    Ancienne église de Clairay à BelfondsAncienne église de Clairay à Belfonds

     

    Historique :

    Ancienne église de Cléray dont la commune fut supprimée en 1802 et rattachée à celle de Belfonds. C'est à Cléray que Latuin, premier évêque du diocèse de Sées, se réfugia pour fuir la haine de la femme du gouverneur de Sées, jalouse de ses miracles. Il s'arrêta au bord d'une fontaine et édifia une cellule et un oratoire. La chapelle occupe aujourd'hui l'emplacement présumé de sa tombe. Il s'agit donc d'une chapelle de pèlerinage. L'édifice se compose d'un clocher occidental formant porche, d'une nef, d'un choeur terminé par un chevet plat, auquel est accolée une chapelle seigneuriale. Le mur du choeur s'orne de graffiti représentant des mains sacrées, un noeud, des croix, dont il est difficile de déterminer la date et le sens. Les arcades du choeur reposent sur un chapiteau de style roman qui pourrait être une récupération de l'édifice antérieur ou une imitation du 17e siècle.

    lieu-dit La Couture.

    Ancienne église de Clairay à Belfonds

     

    Personalités de Cleray - Belfonds

    Caroline Pascale Louise Aimée De FROTTÉ 

    Caroline Pascale Louise Aimée De FROTTÉ

    • Née le 8 avril 1792 - Cleray - Belfonds (61)
    • Décédée le 22 février 1881 - Doucet (61), à l'âge de 88 ans
    • Inhumée en 1881 - Cleray - Belfonds (61)

    Mariée le 1er octobre 1822, Cleray - Belfonds (61), avec Louis François Isaac Du SIGNET 

    Louis François Isaac Du SIGNET

    ********************************

     Gustave François Du SIGNET

    Gustave François Du SIGNET

    • Né le 30 septembre 1827 - Cleray - Belfonds (61)
    • Décédé le 21 août 1908 - Doucet (61), à l'âge de 80 ans
    • Inhumé en 1908 - Belfonds (61)

    Marié le 24 mai 1852, Moulins-sur-Orne (61), avec Marie Henriette Euphémie GERMAIN LACOUR 1833-1930

    Marie Henriette Euphémie GERMAIN LACOUR

    *****

    Marie Adélaïde Euphémie Du SIGNET

    • Née le 8 mai 1858 - Belfonds (61)
    • Décédée le 12 janvier 1934 - Sées, à l'âge de 75 ans
    • Inhumée en 1934 - Cleray - Belfonds (61)

    Marie Adélaïde Euphémie Du SIGNET

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    Thierry Robert NICOLLE, , Membre cgs61 est un cousin au 25e degré d'un parent de l’époux de Marie Adélaïde Euphémie Du SIGNET.

    • En effet,
      • Etienne II de BLOIS, , comte de Blois seigneur de Sancerre (2 liens de parenté)  Voir
      • Adèle De NORMANDIE, , princesse régente de la principauté de Blois-Chartres (2 liens de parenté) 

    a voir lien 

     

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  • FLEURE

    Fleuré

    Le village de Fleuré est situé au centre du diocèse de Sées, à environ 7 kilomètres au sud d’Argentan et à 19 kilomètres au nord-ouest de Sées. Le relief, à peine ondulé, est issu du contact de la plaine calcaire d’Argentan et d’une avancée du massif armoricain et du socle cadomien de grès. Un infime ruisseau coule d’est en ouest à la frange méridionale du village. Depuis le XVIIIe siècle, de nombreuses trouvailles archéologiques démontrent l’ancienneté de l’occupation à Fleuré et dans la région, alors que les sources écrites n’attestent Fleuré (Flureium) qu’à partir de 1093. On soupçonne une christianisation assez précoce. Mais la microtoponymie liée à la végétation, les étroites parcelles laniérées et un habitat concentré à Fleuré et dans quelques hameaux au sud plaident peut-être pour des installations et une mise en valeur tardives d’un terroir médiocre.

    Fleuré

    ." Hommey, Histoire générale ecclésiastique et civile du diocèse de Sées, ancien et nouveau."

    Les possessions des évêques de Sées, domaine et manoir, ont laissé peu de traces et n’ont jamais fait l’objet de développements dans les travaux anciens. La tradition rapporte les vicissitudes du manoir qui connut alternance d’importants travaux de restauration au début du XVIe siècle puis ravages par les Huguenots en 1568 et reconstruction au XVIIe siècle6 avant la destruction totale en 17847. La vaste parcelle en herbage qui subsiste, à l’ouest de l’église, figure déjà sur le cadastre de 1823 avec la seule mention « ruine du château ». Les sources médiévales sont maigres : trois chartes épiscopales et l’aveu de 1458. L’état du manoir tel qu’il peut être restitué à partir d’un inventaire réalisé entre 1700 et 1704 révèle des structures qu’on peut attribuer au Moyen Âge.

    Fleuré

    Le premier indice d’un séjour, et par là de l’existence probable d’une résidence des évêques de Sées à Fleuré, date des environs de 1200, lorsque l’évêque Lisiard (1188-1201) y préside à une donation en faveur de l’abbaye d’Ardenne.

     Robert de Torigni, Chronique, L. Delisle (éd.), Rouen, Le Brument – Métérie, 1872-1873, II, p. 130

    À qui faut-t-il attribuer la construction de la résidence primitive des évêques de Sées à Fleuré ? Yves de Bellême pourrait bien avoir entrepris cette oeuvre. Il s’est consacré à la restauration de son évêché et a mis en chantier la reconstruction de la cathédrale de Sées.

    Fleuré

    Les sources médiévales ne fournissent que quatre attestations de séjours épiscopaux à Fleuré, dont trois occurrences au XIIIe siècle. Aux environs de 1200, l’évêque Lisiard y est témoin d’une charte en faveur de l’abbaye d’Ardenne ; en 1284 et en 1290, l’évêque Jean de Bernières y délivre deux chartes. Entre le milieu du XIVe siècle et la fin du XVe siècle, la résidence de Fleuré a connu de longues périodes où l’on soupçonne qu’elle fut délaissée par les prélats. Entre 1356 et 1364, le village est occupé par les compagnies navarraises et l’insécurité qui en résulte doit rendre dangereux le voyage depuis Sées.

    Fleuré

    Entre le milieu du XVe siècle et 1784, la résidence de Fleuré a connu de nombreux avatars, qui ont progressivement oblitéré la résidence médiévale. En 1434, le nouvel évêque, Jean Chevalier, prétend que la guerre a amoindri la valeur de l’évêché et que de lourdes réparations sont à effectuer. En 1461-1462, la baronnie de Fleuré ne rapporte que 146 livres. Cette somme dérisoire est significative du délabrement des revenus épiscopaux et pourrait expliquer qu’aucune entreprise d’envergure n’ait été mise en oeuvre pour remettre en état une résidence quasi à l’abandon.

    La residence des Évêques a était détruite a la révolution.

     

    Il faut sans doute considérer comme remontant aux origines du domaine la très vaste emprise du complexe qui occupe un peu plus de 12 hectares à l’ouest de l’église. Le cadastre de 1823 a conservé l’empreinte d’un espace fractionné en sous-ensembles composé de grandes parcelles quadrangulaires bâties ou non bâties. Ces sources n’apportent pas de précisions sur la nature de la clôture, mais on n’y décèle aucun vestige ou indice d’éléments de défense.

     Les parcelles 11 à 13 sur le cadastre de 1819 sont dénommées « vivier » et « herbages du vivier ».

    L’espace non bâti tel qu’il apparaît dans l’inventaire de 1700-1704, relayé par le cadastre de 1823, semble avoir conservé des dispositifs qu’on peut légitimement attribuer au Moyen Âge. Les évêques ont fait aménager immédiatement aux portes de l’enclos résidentiel un espace boisé, clos de murs, qui couvre environ 10 hectares. Ses faibles dimensions et l’absence de documentation ne permettent pas de le qualifier de parc à gibier, mais on y a aménagé une garenne (« lapinière »), un enclos à gibier à plume (« perdrière ») et un plan d’eau. Il n’est cependant pas raisonnable d’affirmer avec certitude que le « pavillon » et la « galerie » sont des structures d’origine médiévale. Au nord de l’enclos, mais à l’extérieur de l’enceinte, se trouvait un vivier.

    **D’après É. Desvaux-Marteville, à partir du XVIe siècle dans le Perche, les colombiers ont été éloi (...)

    Le reste de l’enclos est divisé en plusieurs cours. La basse-cour, au sud de l’enclos résidentiel, abrite la maison du fermier et des bâtiments d’exploitation : grange, étable, écurie, puits, four et colombier (« fuye »). Ces deux derniers bâtiments sont déjà mentionnés dans l’aveu de 1458. Mais le colombier médiéval pourrait avoir disparu de son emplacement primitif, et avoir été transféré dans la basse-cour où il ne se présente plus que sous la forme d’une volière**. Autour du logis, sont disposés un jardin, un verger et deux autres cours, où ont été élevés des bâtiments directement liés au train de vie de la résidence (chenil, bûcher, écuries et remises).

    Conclusion

    Le manoir de Fleuré a été implanté près de l’église, mais il n’est pas possible, étant donné l’absence de sources, d’envisager l’existence d’une chapelle castrale devenue église paroissiale. Les dates de l’entrée du domaine et de la construction du manoir primitif sont inconnues et ne peuvent être que l’objet d’hypothèses incertaines. En tout état de cause, la première attestation d’un séjour épiscopal n’est pas antérieure aux environs de 1200.

     

    Les lacunes des sources médiévales et l’absence de tout vestige sur le terrain nous ont contrainte à solliciter abondamment les sources modernes avec tout ce que cela implique d’incertitudes. Ces précautions étant prises, il nous a semblé que le manoir de Fleuré pouvait ressortir de la catégorie des maisons plates aux enclos distendus et fractionnés, dépourvus de structures de défense. À Fleuré, l’espace réservé aux bâtiments de la résidence est composé d’au moins une cour et de jardins ; le logis ayant vue sur les deux.

     

    ** Dans l’aveu de 1458, le logis de Laleu est qualifié de « masures » (Arch, nat., P 306 fo 111).

    Les bâtiments à usage agricole sont nettement séparés du pôle noble et se déploient dans un enclos adjacent. Le logis compact primitif ( ?) a été tardivement restructuré, au début du XVIe siècle, par l’adjonction de structures conformes aux nouvelles exigences de la vie aristocratique (tour d’escalier, galerie ?). À cette date, les évêques de Sées ont privilégié, conjointement à la rénovation de leur résidence urbaine, la restauration du manoir de Fleuré, alors que les deux séjours de SaintFulgent-des-Ormes et de Laleu voyaient abolie leur vocation résidentielle.


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  •  L'Hôpital rural.  Fouille de sauvetage .

     

     

     La fouille de sauvetage a été réalisée à l'emplacement d'un

    futur sous-sol lié à la modernisation de l'hôpital. L'établissement a été fondé au début du XIIIe s.

    (peu avant 1209), entre la motte castrale Saint-Pierre et l'abbaye Saint-Martin. On suppose qu'il

    était primitivement inclus dans le Bourg-le-Comte, qu'il a été implanté sur les bords de la rivière

    de la Lavandrie puis étendu vers le Bourg-l'Abbé, après le détournement du cours d'eau.

    La mise au jour de niveaux diffus d'époque antique a confirmé que ce secteur était situé à la

    périphérie de la ville antique et qu'aucun habitat ne semble s'y être implanté jusqu'au XIIIe s. A 

    l'emplacement du sous-sol, les fouilles n'ont mis au jour que des niveaux des xme-xive s.,

    recouvrant le lit primitif de la rivière et situés sous d'importants remblais d'époque moderne et

    contemporaine. 

    ****

     

    L'occupation médiévale, étroitement liée à la création puis l'évolution de l'hôpital, peut être

    subdivisée en deux phases. Au-dessus de la rivière, totalement envasée au début du XIIIe s., une

    épaisse couche de graviers mêlés d'argile a été déposée pour servir d'assiette à une aire de gâchage

    de chaux. Elle peut être liée à la construction des premiers édifices, dont une chapelle toute proche.

    A l'issue des travaux, un égout de 2,50 m de large a été creusé sur une profondeur moyenne de

    0,60 m. D'axe N.-S., longeant le bord est de la rivière, il a entamé la couche de graviers, toutefois

    sans la traverser de part en part. L'étude du comblement de cet égout et de ses profils démontre de

    fréquents curages. En phase terminale, l'envasement progressif de l'égout s'est accompagné du rejet

    de déchets de réfectoire et de pierres. On notera surtout la présence de très nombreuses formes

    céramiques (plus de 500 vases sur un espace de 14 m2) qui appartiennent à deux grands groupes de

    production. Le premier (groupe A) à pâte micacée brune comprend des pots globulaires, des

    cruches, des pichets à bec pincé et des mortiers à œil de perdrix, probablement originaires de la

    région d'Héloup (Orne). Le second (groupe B), à pâte fine claire, le plus souvent blanche, comprend

    en majorité des pichets et des coquemars, ainsi que, entre autre, une chope et un grand vase de

    stockage. Au sein du groupe B, se distinguent surtout des pichets du type « très décoré », qui ne

    peuvent être assimilés aux productions dites « rouennaises », « parisiennes » ou même « caennaises ». Une partie des formes (coquemars, ...) pourraient provenir du ou des ateliers d'Argentan

    (Orne). Quant aux pichets qui se singularisent entre autres par la présence d'une bande monochrome

    peinte sous le fond et une anse plate moulurée, ils appartiennent à un nouveau groupe de production,

    inédit, peut-être originaire de Sées même. Le lot céramique de l'Hôpital rural est datable du XIIIe s.

    ou du début du XIVe s. Il est en tout cas antérieur à celui découvert au pied de la cathédrale, daté

    du milieu du XIVe s. (Responsable de la fouille : François Fichet de Clairfontaine). 

    ****

    L 'origine de l'Hôpital est bien connue ; on la trouve dans une bulle de confirmation du pape Innocent III , du 20 janvier 1208 , où il est dit qu'il avait été construit par Guillaume Bérard et Macée sa femme , qui vivaient encore alors. Robert , dernier comte d'Alençon de la maison de Montgommery , et Éla , sa seur , y firent des donations. L 'Hôpital, selon le censier de l'église romaine , payait à cette église une obole d 'or de rente , pour être sous la protection des souverains pontifes . Longtemps bornérà un revenu de 1500 l. , il était parvenu à le porter à 7000 , lorsqu 'il en perdit près de la moitié par des remboursements en billets de banque. A cause de cette réduction , les habitants cédèrent, du consentement de Louis XIV , quinze cents livres de rente sur l'octroi qui faisait leur revenu commun. Le monarque y réunit , comme nous le verrons ci - après , la léproserie de la Magdeleine (route d'Alencon), et des personnes de considération de la ville , édifiées de l'usage qu'on faisait de ces biens , achevèrent par leurs libéralités de remettre cet établissement en bon état . Les bâtiments furent renouvelés , même, augmentés , et l'église fut embellie. Outre les malades , on y nourrit des gens âgés qui ne peuvent travailler ; ils doivent être de la ville ou des paroisses succursales . Il y avait aussi avant la révolution une école de charité .Cette maison était administrée par des Soeurs hospitalières. 

     

     Il y avait autrefois quatre chapelles dans l'hôtel-dieu ; on les a dé truites à cause de la modicité de leur revenu ; les titres en ont été réunis à celui de la chapelle qui reste , et qui est sous l'invocation de St. Michel. 


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