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Par cgs611 le 11 Août 2021 à 11:25
Saint Godegrand, alias Chrodegang
Vitraux de Godegrand et Opportune
en la cathédrale de Sées.
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Saint Godegrand, alias Chrodegang, est le quinzième évêque de Séez et le frère jumeau de sainte Opportune.
Né à Exmes, capitale du Hiémois, il est assassiné par un parent jaloux en 769[3] sur la route d'Almenêches alors qu'il rentre d'un pèlerinage sur le tombeau des apôtres Pierre et Paul.
Un calvaire se dresse dans la campagne de Nonant à l'endroit de son martyre[2]. L'église d'Almenêches abrite une relique. Le crâne du saint est déposée dans l'église de L'Isle-Adam.
Les charitons d'Echauffour l'ont choisi comme saint patron de leur confrérie.
Il a acquis la réputation d'être « l'œil de l'aveugle, le pied des boiteux, le père des pauvres, le soutien des affamés. »
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Source; La Vie de sainte Opportune, abbesse d’Almenèches au diocèse de Séez, en Normandie : poème légendaire du Moyen Âge (publ. pour la première fois, avec une introd. et des notes, par Léon de La Sicotière), Rouen, H. Boissel, coll. « Société des bibliophiles normands » (no 11), 1866, xii-[14]-viii p.
Cliquer sur l'image pour lien lecture en ligne sur gallica
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Par cgs611 le 26 Juillet 2021 à 11:32
Écouché-les-Vallées
La commune est créée le 1er janvier 2016 par un arrêté préfectoral du 26 octobre 201521, par la fusion de six communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Batilly, La Courbe, Écouché, Loucé, Saint-Ouen-sur-Maire et Serans (Orne) deviennent des communes déléguées et Écouché est le chef-lieu de la commune nouvelle.
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lien histoire du bourg d'Ecouché
Il est difficile de dater précisément l’origine de la commune d’Écouché. Les plus anciens documents écrits faisant référence à la commune datent du 12ème siècle. Toutefois, le passage des Romains est attesté par les débris de leurs constructions, leurs sépultures et les dépôts monétaires mis à découvert.
Pendant le Moyen Age, Écouché fut fortifiée, ce qui lui valut dans les chartes du XIIe siècle la dénomination de Castrum. Les fossés servant d’enceinte à la ville ont toutefois été comblés au début du 16ème siècle. A cette même époque, la cité Écubéenne a été utilisée comme étape sur les chemins des pèlerins du Mont Saint-Michel. Ces mille ans d’histoire trouvent à s’illustrer dans le nom des rues du bourg d’Écouché mais aussi et surtout dans le patrimoine qui a été préservé.
Un dédale de ruelles permet de déambuler dans la cité. Celles-ci sont bordées de grands murs laissant cependant entrevoir les tourelles datant des 15ème et 16ème siècles, situées en façade arrière et desservant les étages de ces maisons souvent bourgeoises.
Les anciennes halles situées sur la place du Général Warabiot ont été diminuées de moitié à ce jour. Elles abritaient autrefois à l’étage l’Auditoire où étaient rendues la basse et la haute justice. L’accès de cet ancien tribunal se faisait par l’escalier extérieur.
L’Église, classée monument historique depuis 1907, séduit par la superposition de plusieurs projets inachevés, expliquant la nef découverte laissée en ruine.
Parmi les autres curiosités patrimoniales, il est à noter la présence d’un autel révolutionnaire, lieu de fête, de cérémonie et de culte pendant la Révolution française. A l’entrée d’Écouché, un char Sherman de la 2ème DB, donné à la commune en souvenir de sa libération, rappelle au visiteur que la commune a été au cœur des combats de l’été 44.
Ecouché disposait autrefois de défenses naturelles avec les rivières Orne au nord et d'Udon à l'ouest et des marais vers le sud. Des fossés peut-être renforcés de palissades défendaient la cité vers le sud et à l'est. Quatre portes munies de tours de guet en contrôlaient les accés.
Enfin, au cœur de la cité, un château dont il subsiste des vestiges de sa motte avaient été érigé sans doute au 11e siècle.
« A Écouché, … on n'aperçoit plus qu'avec peine le lieu où se trouvait la motte du château ; mais on peut distinguer encore la ligne des fossés, qui étaient étendus. »
Plan hypothétique des défenses d'Ecouché
« Il est difficile de dater précisément l’origine de la commune d’Écouché. Les plus anciens documents écrits faisant référence à la commune datent du 12e siècle. Toutefois,le passage des Romains est attesté par les débris de leurs constructions, leurs sépultures et les dépôts monétaires mis à découvert.
Pendant le Moyen Age, Écouché fut fortifiée, ce qui lui valut la dénomination de Castrum. »
cadastre napoléonien de 1812.
« Vieille cité au passé célèbre qui tire son nom du latin : Scoceium ou Scocetum, en français Escouchy puis Ecouché – un étymologiste fantaisiste prétend qu’un gouverneur prisonnier dans la ville s’en serait échappé au moyen d’un « ais » (planche) couché sur l’un des fossés qui entouraient la ville. »
Ecouché reste dans la famille de Gournay jusqu'à la conquête de la Normandie par Philippe Auguste en 1204
blason est celui de la famille de Lorges de Montgommery, anciens seigneurs d'Écouché et de Ducey
Quelques CP
Autel décadaire est l’un des rares qui soient parvenus jusqu’à nous,
le seul dans le département de l’Orne.
Sous le linteau en bas-relief,
on reconnaît le bonnet phrygien,
symbole de liberté sous la Révolution.
(Texte de Gérard Delozier)
Écouché a été libéré par les forces du général Leclerc. Cet engagement faisait partie de l'encerclement de l'armée allemande (bataille de Normandie).
Ce carnage final de l'armée allemande a été appelée plus tard la Poche de Falaise ou Couloir de la Mort (Hall of Death), le 17 août 1944.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, bâtiments et les maisons d'Écouché subirent de lourds dégâts : 15% de la ville détruite par les bombardements aériens du 6 juin et les combats de rue lors de la libération. La destruction provient ldu bombardement massif des voies ferrées ciblées, même si les objectifs n'ont jamais été atteint en deux tentatives.
http://remparts-de-normandie.eklablog.com
lien gallicapar M. Alfred de Caix ; Éditeur : Le Gost-Clérisse (Caen), 1862
Lien interne ecouché legion d'Honneur listes des communes de l'Orne
Et je rand hommage aux éléves de l' Ecole-Primaire dEcouché pour ce pdf sur l'histoire de leur commune
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Par cgs611 le 26 Juillet 2021 à 09:43
Sées Quelques bas-relief suite
petites balades dans les rues de Sées.
à l’angle de la rue l’évêque et de la rue Billy
à l’angle de la rue l’évêque et de la rue Billy
rue de la république
rue de la république
rue de la république
ornement de porte rue de la république
angle de la rue de la république et la rue lévêque
La semeuse, rue de la Republique
La semeuse Au dessus de la boulangerie rue de la république
rue de la république
rue de la république
rue de la république
rue de la république
au dessus de la brocante qui fait l’angle de la rue Conté et de la place du général de Gaulle
rue Auguste Loutreuil
à l’angle de la rue des Ardrillers et de la rue Auguste Loutreuil
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Par cgs611 le 26 Juillet 2021 à 09:16
Sées Quelques bas-relief
Petites ballade dans les rues de Sées. partie 01 bas relief suite 02
Juste par plaisir sans Histoire, sans se prendre au serieux, enfin juste une balade
sur la façade du musée d’arts religieux (derrière la mairie)
La porte de l’ancien collége
le buste de Diane de Poitiers sur la façade du lycée Marie Immaculée
un lion sur l’arrière du lycée Marie Immaculée rue Charles Forget
sur la façade du Monastère de la Sainte Famille, rue des Ardrillers
fronton de l’ancien petit séminaire rue conté
rue conté en face de l’ancien séminaire
ruelle de l’adoration
au dessus de la porte d’entrée de l’hôtel crurial
au dessus de la porte d’entrée de l’hôtel crurial
à l’angle de la rue l’évêque et de la rue Billy
SUITE Bas-relief
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Par cgs611 le 21 Juillet 2021 à 06:29
Marc Bry
photos, actes sur base cgs61
Marc Emile Roger BRY
Né le 3 février 1910 - Essay (61)
Décédé le 18 octobre 2001 - Alençon (61), à l'âge de 91 ans
Photographe
Notes individuelles
dom. rue basses ruelles a Alencon en 1929. A 19 ans, il s’initie à la photographie. Cette activité devient alors sa passion et c’est avec un plaisir évident qu’il photographie ses proches, ses loisirs, les lieux qu’il affectionne.
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Parents
Vital Albert BRY
Né le 4 juillet 1875 - Louzes (72)
Domestique
et Mariée le 26 avril 1902, Essay (61)
avec Juliette Constance Vitaline CHEVALIER
Née le 20 mars 1885 - Essay (61)
Domestique
Grand parents de Marc
Gustave CHEVALIER
Né vers 11 mars 1854 - Belleme (61)
Décédé après 1930
Journalier
marié le 26 octobre 1879, Essay (61),
avec Augustine Clémentine GRIMOIS
Née le 27 avril 1849 - Essay (61)
Décédée après 1930
Grand-mère de Marc Bry
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