• Les Tourelles, Forges (61)

     

    Les Tourelles, Forges (61)

    vue aerienne

    1946 Propietaire Mme De la Garenne Mathilde (veuve Danloux) née 1857

    avec sa fille Jeanne née 1880.

    Les Tourelles, Forges (61)

    Cuisiniere habitant le chateau Mlle Launay Angelique née 1903 et un jardinnier Goblet.

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    Les Tourelles, Forges (61)

    avant 1946 proprietaire Mr de la Garenne.

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    pas de trace du chateau aux REC 1936

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    pas de trace aux REC 1926, 1921. 1911.1906

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  • Château des Nouettes

    Château des Nouettes

    Au XIXème siècle, le comte Rostopchine fit présent du château des Nouettes à sa fille Sophie pour son mariage.

     

    Celle ci, tomba sous le charme du lieu, lors d'une promenade. Le parc du château lui rappelait sa vie passée en Russie dans le domaine de Voronovo.

    Le château est constitué de trois étages, Sa façade est ornée de briques (matériau très présent en Normandie à cette époque).

    Le domaine regroupe une ferme, une petite chapelle, ainsi qu'une écurie (devenue classes-dortoirs).

    Le château est aujourd'hui un institut médico pédagogique qui accueille des enfants. Des petits bâtiments ont été construit pour servir de classes.

    Le château des Nouettes ne se visite pas.  

    sauf exceptions* pour le parc du château ..

    **

    Sophie Rostopchine , comtesse de Ségur est née à Saint Petersbourg en Russie, en 1799.

    Elle passe son enfance dans la vaste propriété de Voronovo, près de Moscou.

    Petite fille turbulente, elle est souvent punie par ses parents.

    Château des Nouettes

    En 1817, après la disgrâce de son père, général et gouverneur de Moscou, elle se rend à Paris avec sa famille. Deux ans après elle épouse le comte Eugène de Ségur et achète la propriété des Nouettes, à Aube dans l'Orne où elle va passer une grande partie de sa vie.

    Elle écrira pour ses petits enfants des récits tels que Mémoires d'un âne, les Malheurs de Sophie (inspirés de son enfance), les Petites Filles Modèles ou encore Les Vacances...

     

     


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  • Denneville , le château (50)

    Château construit au XVI ème siècles par Jean Eustache, seigneur tout juste anobli car construire son château était l un des premiers actes lorsque l'on devient noble. Les Eustaches laissent la place aux Beaudrap dans les années 1920. Le château est ensuite vendu à des fermiers puis transformé en colonie de vacances de Villejuifs en 1960 . 

    Denneville , le château (50)

    Chateau de Denneville 

    La famille de Denneville fut anoblie en 1551, dans la personne de Jean et de Georges Eustace de Denneville ; elle porte d’azur à la fasce d’or, accompagnée de trois roses d’argent, deux en chef et une en pointe. Eustace de Denneville, né à Denneville, un des membres de la famille de Denneville, avait la seigneurie de la paroisse dans la première moitié du XVIIe siècle. Après avoir appartenu à cette famille, le château passa par héritage dans la famille de Beaudrap jusqu’en 1920. Il fut acheté par des fermiers puis vendu à la mairie de Villejuif afin d'accueillir une colonie de vacances. Il a été abandonné quelques temps et appartient aujourd’hui à Monsieur Alain qui semble vouloir le restaurer. Reconstruit aux XVIIe et XVIIIe siècles, la façade du bâtiment à deux étages est très large. Un avant-corps central surmonté d’un fronton triangulaire est encadré de deux corps de bâtiment puis de deux pavillons latéraux légèrement avancés et d’une tour à toit conique à gauche. La façade se reflète dans le plan d’eau creusé récemment devant la façade et sur les côtés.

     Cliquez sur les photos pour agrandir

    Denneville , le château (50)

    Denneville , le château (50)

    arriere du chateau, les jardins potagers

    Denneville , le château (50)

    Denneville , le château (50)Denneville , le château (50)

     

    Denneville , le château (50)

    Denneville , le château (50)Denneville , le château (50)

    *merci a la page Les portes de l'oubli. @Lankouangy 

    famille de Denneville

    Pierre Joseph César Eustache de DENNEVILLE 

     Les seigneurs d'Ornon vill e étalent aussi seigneurs et patrons

    de Denneville . Eustace de Denneville , un des membres

    de la famille de Denneville, qui avait la seigneurie de la paroisse; a publié, dans la première moitié du XVII

     siècle, un

    ouvrage intitulé : Inventaire de l'histoire de Normandie ,

    qu'on trouve aufesi sous le titre d'Abrégé de F histoire de

    Normandie . • Ce résumé historique, d'après M. de

    » Gerville , n'est pas sans mérite. Son style , supérieur à

    » celui des ouvrages publiés à cette époque, ne manque

    • ni de chaleur ni de précision. Il est supérieur à celui de

    » Hasseville, quoiaue celui-ci ait écrit dans le bon temps

    • de Louis XIV. H. de Denneville était avocat au parlement

    • de Rouen. » 

    extrait Annuaire du Département de la Manche

    Edité en 1829.

    Généalogie 

    DENNEVILLE (Jacques Eustache). Né à Denneville (50) en 1592, mort en 1650.

     

    Avocat au parlement de Normandie

    (Sur la BNF on a Anneville, Jacques-Eustache d' (1592?-1650?), Naissance : 1592?, Anneville-sur-Crique (Manche), Mort : 1650? )

    *** (entre les deux je n'ai rien)***

     Pierre Joseph César Eustache de DENNEVILLE

    Né le 16 septembre 1795 (29 fructidor an III)   - Denneville (50)

    Marié avec Athénaïse Louise de COULIBOEUF

    maire de Denneville de 1836 à 1846 et de 1857 à la date de sa mort.

    **

    Denneville – Danevila, Dennevilla.

    Dans le livre noir, cette paroisse est dénommée Danevilla supra mare, Denneville sur Mer.

     

    L’église est sans intérêt. Ses fenêtres sont rondes. Le retable et l’autel sont bariolés et chargés de peintures d’un fort mauvais goût. Quand donc les fabriques et les marguillers s’abstiendront-ils d’employer toutes ces dorures, toutes ces peintures qui, sous le prétexte toujours dangereux d’embellissement, donnent à la pierre ou au bois l’apparence d’un marbre aux couleurs les plus heurtées et que repousse le naturel.

    Une tour carrée, dont le toit est très rapide, s’élève au sud de l’église, à l’extérieur, entre chœur et nef. Il existe dans son étage inférieur, une chapelle qui communique avec l’église.

    La chapelle septentrionale est voûtée en pierre, et parait dater de la fin du XVe siècle ou du commencement du XVIe.

    On remarque à la voûte de cette chapelle des fresques représentant les quatre évangélistes, couronnés du nimbe de la gloire céleste et accompagnés chacun de leur attribut symbolique.

    Chacun d’eux tient un philactère qui fait connaitre aussi son nom. Ainsi, sur celui que tient saint Jean, on lit ces mots : Sequentia sancti evangelii secundo ionem ; saint Luc fait le portrait d’une femme qui est au dessus de lui ; un ange, placé près de saint Mathieu, lui présente un encrier …

    L’église est sous le vocable de Saint Rémi. Elle était taxée à 40 livres de décime, et dépendait de l’archidiaconé du Bauptois et du doyenné de Saint Sauveur le Vicomte. L’abbaye de Montebourg en avait le patronage. L’abbé avait les deux tiers de la dime, et le curé l’autre tiers avec le casuel, une vergée et demie de terre aumônée, trois sols et trois chapons. La part du curé valait 22 livres, et celle de l’abbé de Montebourg 30 livres.

    Les seigneurs d’Omonville étaient aussi seigneurs et patrons de Denneville. Eustace de Denneville, un des membres de la famille de Denneville, qui avait la seigneurie de la paroisse, a publié, dans la première moitié du XVIIe siècle, un ouvrage intitulé : Inventaire de l’histoire de Normandie qu’on trouve aussi sous le titre d’Abrégé de l’histoire de Normandie. Ce résumé historique, d’après M. de Gerville, n’est pas sans mérite. Son style, supérieur à celui des ouvrages publiés à cette époque, ne manque ni de chaleur, ni de précision. Il est supérieur à celui de Masseville, quoique que celui-ci ait écrit dans le bon temps de Louis XIV. M. de Denneville était avocat au parlement de Rouen. »

    La famille Eustace de Denneville existe encore dans la paroisse de Denneville. Elle fut anoblie, en 1554, dans la personne de Jean et de Georges EUSTACE de DENNEVILLE ; elle porte d’azur à la fasce d’or, accompagnée de trois roses d’argent, deux en chef et une en pointe.

     

     

    Source : Annuaire Département de la Manche 1859

     

     

     

     


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