• Découvrez la biographie de CLOVIS
    CLOVIS Né en 481 (approximativement)
    Mort en 511 (approximativement) (30 ans)
    Roi des Francs, né l'an 465, il succéda, l'an 481, à son père Childéric. A cette époque, la Gaule, qui, depuis soixante ans, avait été en proie à des irruptions dévastatrices, avait vu s'établir dans son sein diverses nations barbares, différentes par leur origine, leurs mœurs et leur langage ; des Etats rivaux s'y étaient nouvellement formés. Le plus étendu et le plus puissant de tous était celui des Visigoths.

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  • Poète dramatique français (Rouen 1606 - Paris 1684) Fils d'avocat, avocat lui-même, il se sentit très tôt attiré par la carrière poétique. Sa première oeuvre poétique est une comédie Méllie en 1629, bientôt suivie d'une tragi-comédie, Clitandre en 1630, puis de quatre autres comédies: La Veuve, La Galerie du palais, La Suivante et La Place Royale de 1631 à 1634. Distingué par Richelieu, il reçoit une pension et entre dans le groupe des cinq auteurs qui travaillent sous la protection du cardinal. Il publie alors sa première tragédie, Médée en 1635, puis fait représenter l'Illusion comique, la plus féerique de ses oeuvres en 1636, qui développe une merveilleuse apologie du théâtre. C'est enfin le triomphe du Cid où sont relevées avec exactitude les discordances entre la doctrine classique des trois unités et la pièce de Corneille en 1638. Dans les années suivantes, il fera représenter Horace en 1640, Cinna en 1641, Polyeucte en 1642, trois chefs-d'oeuvre inspirés d'un
    plus grand souci des règles, une comédie: Le Menteur en 1643, puis Nicomède en 1651. En 1644 a paru un autre chef-d'oeuvre Rodogune. Membre de l'Académie en 1647, il résilie sa charge d'avocat, mais l'échec de Pertharite en 1651 va l'éloigner du théâtre pour sept ans. C'est vainement qu'il tentera ensuite de reconquérir la faveur du public. Ses dernières oeuvres Agésilas en 1666 et Attila en 1667 connaissent un faible succès, sinon l'échec.

    De la compétition qui l'oppose désormais à son jeune rival Racine, il sort vaincu avec Tite et Bérénice en 1670 et malgré l'exquise qualité poétique de la Psyché qu'il écrit en collaboration avec Molière en 1670, il renonce définitivement au théâtre après Surèna en 1674. Corneille a le génie de l'intrigue aux rebondissements nombreux et imprévus, et son goût de la liberté qui peut, sans péril, se satisfaire dans le genre comique se trouve fortement contraint par les exigences de la tragédie. Soucieux de vérité humaine, capable de créer des personnages d'une médiocre qualité morale (Cinna, Félix, Prusias), il appartient à une génération qui possède le génie de la grandeur, et c'est dans la peinture de la générosité du coeur et d'une rayonnante noblesse d'âme qu'il excelle. Toujours admirables par l'exemple qu'ils offrent du pouvoir de l'homme sur la force des choses et sur lui-même, rarement terrifiants, plus rarement encore pitoyables, ses héros ne sont pas ceux de la véritable tragédie.

    Les plus grands se rejoignent tous (Rodrigue et Chimène, Horace et Curiace, Plyeucte et Pauline, Auguste, Nicomède) quand leurs grandes actions achevées, ayant assuré leur salut ou leur gloire, est venu pour eux le temps de l'amour, de la clémence, de la sérénité. Enfin, la puissance et la rigueur de son style, au rythme parfois insistant ou au lyrisme retenu, et la magnificence de sa métrique en font un des tout premiers poètes de son temps.


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  • Charles-Théophile Féret, né à Sotteville (Seine-Maritime) en 1858 et mort à Colombes (Hauts-de-Seine) en 1928, est une personnalité littéraire liée au département de la Manche.

     

    Charles-Théophile Féret est élevé à Pont-Audemer puis, après son baccalauréat, part pour Paris comme tant d’autres de ses compatriotes. Dans l’exil, il se prend d’un amour encore plus fervent pour sa terre natale, amour qu’il exprime dans un recueil de vers portant un titre paru en 1902 sans équivoque La Normandie exaltée.   Décidé à servir toute sa vie les lettres normandes, il publie par deux fois des anthologies des poètes de son pays et regroupe autour de lui de nombreux écrivains, sur lesquels il entend régner avec autorité sans partage. Il fonde par ailleurs la Société des Poètes de Normandie. Il est réputé tout autant pour sa générosité que pour son mauvais caractère et ses partis pris intransigeants en matière de « foi normande ».   Il est donc tout naturellement un des promoteurs des fêtes du Millénaire de 1911, qui doivent rappeler avec éclat l’entrevue entre le roi de France, Charles le Simple, et le Norvégien, Rolf de Marcheur, chef des bandes scandinaves établies dans la vallée de la Seine et sur les plateaux.   En 1928, il fait représenter une des pièces de théâtre à l’abbaye de Bon-Port, près de Pont-de-L’Arche, et bénéficie d’une critique des plus élogieuses.   Charles-Théophile Féret, qui réside le plus souvent à Agon-Coutainville, au milieu de ses amis coutançais, est décédé des suites d’une longue maladie non étrangère à des excès de libations dans la grande tradition des… vikings.   La Société des écrivains normands décerne une médaille « Charles-Théophile Féret » : le premier récipiendaire en fut Jean Mabire. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Bibliographie    Poésie    Les Faunesses, Giraud, 1886. Louvain, Dumont, 1902. La Normandie exaltée, Dumont, 1902. Quillebeuf et le Roumois. Poèmes à la gloire de Rouen.   Prose    Contes de Quillebeuf et du Roumois. Le Sixième précepte. L'Enfant de mademoiselle Douce. Les Chauffeurs. Sœur Barbue. Frère de Norwège. La Fille du menuisier (conte de Noël). Hennachius (conte gaulois). Venus Medicinalis (conte latin).   Essais et critiques    Léo Trézenik. Du mécanisme des images chez les poètes normands contemporains. Les écrivains normands contemporains. Le Palinod de Normandie, 1904, concours et recueil de poésies contemporaines en hommage à Corneille. Anthologie critique des poètes normands de 1900 à 1920, Garnier, Paris, 1920 (avec Raymond Postal et divers autres auteurs).   Collaboration à des revues   La Revue normande. Le Pays normand. La Gerbe normande. La Normandie historique. La Vie normande (en tant que directeur). La Province. Le Journal de Rouen. Le Nouvelliste de Rouen.   Sources    Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 4, sous la direction de René Gautier, ISBN : 2-914 541 56 2. Anthologie des poètes normands contemporains, Paris, 1903, p. 76-89.


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  • sleepnées au 14ème siècle av JC (avant notre ère.

    En travaux Célébrités nées au 14ème siècle av JC

     

    AKHÉNATON (PHARAON)

     

     

    Né en 1391 av JC (approximativement)
    Mort en 1362 av JC (approximativement) (29 ans)

    Fils d'Aménophis III et de la reine Tiyi, il a imposé la première religion monothéiste connue de l'histoire, le culte du disque solaire Aton. C'est vers 1375 avant notre ère qu'Aménophis IV, couronné sous le nom de Néferkhéperouré, « Les manifestations de Rê sont parfaites », Ouâenrê, « L'Unique de Rê », alors âgé de seize ans, monte sur le trône d'Égypte.

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    En travaux Célébrités nées au 14ème siècle av JC

    RAMSÈS II Né en 1320 av JC
    Mort en 1224 av JC (96 ans)
    Fils de Séthi 1er et troisième pharaon de la XIXem dynastie, son nom de couronnement est Ousermaâtrê-Setepenrê. De part la longueur exceptionnelle de son règne, on possède beaucoups de documentation sur lui. Il construisit beaucoups de monuments, mais il est clair aujourd’hui qu’il « usurpa » de nombreuses constructions édifiées par ces prédécesseurs pour les réactiver magiquement.

    En travaux Célébrités nées au 14ème siècle av JC

    TOUTÂNKHAMON Né en 1357 av JC (approximativement)
    Mort en 1338 av JC (19 ans)
    "Ô ma mère Nout, étends tes ailes sur moi comme sur les étoiles impérissables". Telle est l'invocation que Toutankhamon fait graver sur le cercueil de son tombeau de la vallée sacrée des rois. Il supplie la divine Nout de l'accueillir dans son sein afin que son âme puisse rejoindre les bienheureux devenus étoiles dans le royaume des étoiles. Nout, c'est la mère des dieux, la déesse du Ciel et la protectrice des morts.

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